Métier nouveau veux tu la révolution ?

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Choisir  un beau métier ou un bon métier d’avenir ?

Si je peux faire plein de choses, être disponible, en forme physiquement, si je n’ai pas la passion, pas l’envie, pas la motivation, je ne ferais sans doute rien de bien si je n’aime pas mon métier .

Cela se voit sans mot dire, l’entrain peut être soutenu, rarement contraint. ceci pour préciser, que le métier “coule de source”, il faut fixer un but, avoir  de l’enthousiasme, de l’ambition, rien de bien nouveau somme toute ?

Que feras tu plus tard ?

Combien de fois l’écolier, le collégien, le  lycéen, entend t il ce leitmotiv ?

Cette construction de l’esprit autour du métier, de l’avenir, également du devenir, ne saurait s’éloigner du contexte de vie dans lequel, je me trouve. En effet, l’environnement familial conditionne ma destinée. Je ne pourrais envisager une situation brillante, qu’à la condition de pouvoir y prétendre . Autrement dit la première décision dépendra des possibilités, naturelles, intellectuelles, financières, dont je suis en capacité.

Combien d’années d’études faut il pour obtenir le  diplôme indispensable à cette prétention. Dans quelle ville  suivre ma scolarité. Enfin, quels seront les frais  d’hébergement dus à l’éloignement, autant de questions essentielles avant de se lancer.

Les nouveaux  métiers au prochain salon

Les nouveaux métiers sont nos rêves d’hier, simplement l’imagination devient réalité. Le dernier nouveau métier présenté, ne surprend pas pour son existence, mais plutôt parce qu’il n’avait  pas été réalisé plus tôt ?

Pour illustrer, faire du stop dans le but de  rejoindre la caserne au service militaire, était très bien accepté, la tenue de “bidasse” suffisait à l’automobiliste pour s’arrêter. Il aura fallu internet, et les réseaux sociaux pour rendre plus fun ce principe de voyager en levant le pouce ! BLABLACAR s’est installé en quelques clics et du temps faut il le préciser. Seulement l’envie de voyager à moindre coût, conjugue les motivations des automobilistes et des voyageurs . Cet exemple est pour l’instant le moyen qui ne soulève pas de polémique ni de protestation des professionnels qui y verraient une concurrence déloyale. Il n’empêche que la SNCF s’est empressée de prendre des participations au capital de cette start-up. Comme quoi l’avenir d’une entreprise s’appuie sur le pari des acteurs visionnaires.

Les nouveaux travailleurs qui vont apparaître !

Ils ne sont pas nés, ils sont fabriqués… nuance de taille. Même s’ils copient la posture humanoïde, nous les voyons poindre avec curiosité. Déjà nous sommes étonnés de voir des enjeux économiques émerger au travers des “joutes” Homme – Robot. Ils  s’affrontent dans une partie d’échecs, (exemple récent) . Sans faire de jeu de mot un peu facile, la mise en échec de l’homme vient d’arriver.

Les machines s’équipent d’électronique utilisant les fonctions numériques derniers cris. L’homme bientôt constatera les dysfonctionnements, si la machine n’y répond pas elle même. Ces événements nous font craindre le chômage. En revanche l’installation des ordinateurs dans les années 70, qui nous relayaient croyait on aux basses besognes, aurait plutôt accentuer la compétitivité.

Les machines robotisées seraient elles un gag ?

L’imprimante 3D,  n’a rien à priori d’une imprimante. Exception faite au regard du mouvement aller retour de la tête d’impression, sera-t-elle la pièce qui complète le puzzle de la fabrication automatisée ?

La voiture automobile “autonome”, bardée de capteurs, de GPS, circulants dans des couloirs interconnectés, en liaison avec la signalétique,  ne va-t-elle pas révolutionner la circulation routière ?

La valeur augmentée existe en finance, mais l’homme augmenté possible ?

Le salarié, on le voit se faire évincer par les robots. A suivre, les  OS dans les usines risque le chômage technique. Ensuite, les intellectuels vont observer  dans leur rétroviseur le dépassement inopiné de  l’intelligence artificielle. Enfin  les services Ubérisés en relation avec une plateforme de partage, cloueront  au parking les taxis !

Les métiers du futur restent à inventer

la révolution intellectuelle est sans doute sous nos yeux ! Contrairement aux révolutions françaises fortes de la pensée unique  qui ont décimé ou exilé des milliers de personnes éminentes. De plus, ce  remue méninge nous réserve espérons le encore beaucoup de rêves à inventer !

Jamais le progrès ne s’est inversé, sauf à me contredire. La diligence  ne sort plus que dans les films ou dans les manifestations réservées aux collectionneurs !

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Publié le 15 septembre 2016

J Guidaniel