Je divorce, tu divorces, on divorce

Divorce pourquoi ? Comment ?
Divorce : la fin d’une vie commune

Divorce avec ou sans cause ! C’est à dire avec ou sans juge pour ainsi traduire.

Divorce  : mode d’emploi

Le divorce qui se passe un peu trop bien ! Est-ce possible autrement qu’en chanson?

Ou le divorce c’est mon fils ma bataille ? Autre version !

Le mariage à deux, cest mieux !

A trois  on divorce?….. Une affaire de famille ?

Autrement dit un divorce aujourd’hui, c’est quoi?

Une séparation avec ou sans préparation, oserais je dire?

Cette série de litotes, donnent lieu à autant de réponses.

Deux sortes de divorce : soit tu divorces, soit on divorce

Autrement dit avec consentement mutuel, ou alors devant un juge? C’est bien la première chose sur laquelle, on doit trouver un accord. Car sans accord, la partie ne fait que commencer.

Le législateur dans sa volonté d’avancer « vers la sortie », ouvre des possibilités qui promettent le divorce à moindre prix. Enfin, ceci dit, ce n’est pas l’avis des « accompagnateurs assermentés » qui feraient bien commerce au travers des divisions, je veux parler des divergences que rencontre le couple, bien sûr.

Que reste-t-il de nos beaux jours?

Partager le patrimoine mobilier et immobilier relève de la gageure. En effet, toutes les valeurs sont parties prenantes dans ces  objets, sentiments, bijoux de famille, qui suscitent  un je ne sais quoi de supplément d’âme, écrirait le romancier.

« Objets inanimés avez vous donc une âme qui s’attache à notre âme et la force d’aimer? « 

Qui sait?

Le vide grenier

Tout doit disparaitre, repartir de zéro, voilà ce qui serait une solution.

Le partage n’a jamais été aussi compliqué, à fortiori quand on y ajoute la mauvaise volonté,  en guise de bolduc !

Quoiqu’il en soit cette problématique doit rester l’affaire du couple. Sinon le fisc « s’invite » à la fête ! Par dessus l’épaule des avocats et du notaire.

Donc la première règle, le bon sens préside au partage.

Le patrimoine mobilier et immobilier sera partagé, sans témoin. Le divorce reste à consommer.

Divorce : sous l’angle financier

« On s’est beaucoup aimer, tu m’as fait de beaux enfants, si l’on partait comme deux vieux fous ! » Michel Sardou

Parlons pensions

Deux sortes de pensions seront évoquées : la prestation compensatoire et la pension alimentaire.

La prestation compensatoire : définition

La pension compensatoire doit servir à « solder » matériellement ce que les sentiments auraient « altérés » si vous me permettez ma vision des faits.

En d’autres termes, dans un couple on observe assez souvent les traits de vie  : l’un qui rêve et l’autre qui réalise, l’un qui se couche tôt et l’autre qui se lève tôt.

Chacun son biorythme en quelque sorte!

Le législateur veut « réparer » les déséquilibres de bonne et mauvaise fortune individuelle s’entend, qui seraient constatés avec le temps.

Prestation compensatoire : aspect financier

En effet, sur le plan financier, dans le couple l’un à pu consacrer ses chances à sa carrière professionnelle avec l’aide du conjoint. Ce dernier  assure l’intendance de la maison et l’éducation des enfants. Le conjoint est lésé par moins de revenus, indépendamment du partage des dépenses.

Les salaires sont des biens communs.

Cette prestation compensatoire se calcule donc en prenant en compte la différence de revenu multiplié par le nombre d’années de mariage.

Nous ne sommes plus très glamour, nous allons bientôt en venir à comparer la situation du couple avec la vie relationnelle de « passage »d’un célibataire.

La perte des chances du conjoint s’apprécie en quelque sorte comme  s’ils ne s’étaient pas connus avant.

L’actualité de ces derniers mois fait la part belle aux inégalités financières jusqu’aux marches de Cannes. De ce fait, cette question taraude tous les  » genres ».

Ainsi le divorce est conforme à l’article 1382 du code civil :

 » Tout fait quelconque de l’homme, qui cause un dommage à autrui, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer » .

Malgré cette volonté pleine de grâce, il n’y a pour ainsi dire pas une règle de calcul pour apprécier la pension compensatoire mais différentes façons. Inutile d’épiloguer sur le chiffre d’affaires des avocats que cette pension compensatoire génère, tant les subtilités se mêlent à la nostalgie, (quand les rancœurs ne s’invitent à la rescousse).

La pension alimentaire

La pension alimentaire est faite pour « s’occuper »des enfants et subvenir à leur éducation outre l’obligation alimentaire. Dans ce domaine il y a des barèmes que le juge des affaires familiales surveille avec beaucoup d’attention, car il s’agit là d’une affaire au long cours.

La pension alimentaire accompagnera les enfants jusqu’à leur entrée dans la vie active. Le divorce serait donc une vue de l’esprit car nous sommes dans le déni si nous ne considérons pas le rôle de parents qui doit garantir la chance aux enfants de réussir dans la vie.

Qui se soucie de l’enfant ?   A part les psy ?

Les enfants du divorce existent ils?

Combien d’entre eux connaissent l’angoisse que l’on sait reconnaître aux orphelins !

Qui parle du traumatisme que l’enfant vit innocemment dans la séparation de son père le plus souvent.

Qui se soucie du soutien qu’il serait en mesure de recevoir, alors qu’il se retrouve à la place de juge et parti, aux portes de la vie, avant même de savoir lire et écrire et je ne dis rien des risques qu’il encourt à n’entendre  « qu’une » personne .

 « A qui la faute pas à mon père pas à ma mère » Maxime Le Forestier

Sans doute à l’enfant alors! Qu’à t’il fait pour cela?

Comment accepte-t-il la présence du compagnon ? Et que dire du compagnon?

Désolé d’associer le divorce à un certain déni que ne retient pas le juge. A ce sujet le juge veille rigoureusement au respect du versement de la pension alimentaire. Or, l’enfant même s’il a la faculté de parler au juge, rare sont les occasions offertes.

« La terre appartient à nos enfants c’est notre slogan du moment ».

Fasse qu’ils se soulagent  du fardeau involontaire que leurs parents leur ont si gentiment légué.

Divorce échec de l’enfant Roi, ou remake du Petit Poucet,  des contes de Perrault.

Jacques Guidaniel

Balance tout hors vivre ensemble

La parole et la vie vie privée n'est ce pas la liberté de vivre ensemble?
savoir vivre ensemble dans une période de transitions inter générationnelle.

La parole est d’argent

« Le vivre ensemble » je profite de cette expression pour évoquer les déclarations en provenance de la libération de la parole des personnes qui ont subi des outrages. Par contre, je ne suis pas apte à qualifier ces gestes, ces propos gênants, humiliants encore moins à juger quoi que soit.

A ce  propos, je voudrais me placer en marge, sur la touche si j’ose  comparer à un ring. En fait, cette image me semble préférable. En effet il ne peut y avoir de liens directs entre esclavage et outrages sexistes et pourtant.

Ainsi, l’échange d’idées serait plus ouvert en ne haussant pas le ton et le débat au niveau des instances du tribunal serait plus adéquat. Bien qu’ici, encore je ne connaisse rien aux mécanismes de la justice et au jugement qui portent les affaires soient correctionnelles soient criminelles.

Le vivre ensemble

Simplement l’idée de vivre ensemble encouragée par des expressions formatées, du genre : » le vivre ensemble » reçoit un signal d’alerte en rupture avec les bonnes intentions.

Comment ferons-nous pour rétablir les relations entre les humains dans la rue?

Je me souviens à la campagne dans ma jeunesse je devais lever mon béret au passage d’un adulte. Ne riez pas vous qui avez moins de vingt ans ! Les leçons de morale s’apprenaient à l’école.

À l’école parlons-en il y avait l’école des garçons et l’école des filles ! Aujourd’hui il ne reste plus que les toilettes qui soient séparées à l’école. Enfin à ce que je crois entendre elles ne sont  plus beaucoup utilisées par soucis de promiscuité !!!

En gros ce dont je me souviens et ce dont j’ai retenu, c’est je pense la notion de respect.

La vie privée

La vie privée prenait une place importante tout autant que la pudeur et par conséquent le respect s’imposait à tous sans faire débat.

Un mot me revient : la « galanterie » savoir « être galant » retenir la porte pour attendre une personne qui vous suit, me semble désuet, ringard. La porte aujourd’hui ressemble à s’y méprendre à la courtoisie sur la route. (Quoique les règles de Survie sur la route font prendre conscience (sauf exceptions) que nous sommes  » tous concernés ».).

Allons-nous suivre les coutumes américaines d’il y a plus de dix ans  qui voulait qu’un homme ne se hasarde pas à monter dans l’ascenseur en même temps qu’une femme?

entrechoquement

Le choc des civilisations, le choc des mixites, le choc des religions pour reprendre « le choc » d’un président (qui a reçu (avec satisfaction semble-t-il en passant le premier prix de l’humour politique), se lézardent avec l’arrivée de nouvelles populations en France.

Les commémorations de janvier ne pansent pas les plaies du vivre ensemble loin s’en faut.

Ou allons-nous?

Devant cette gêne  compréhensive des « gens honnêtes » nous régressons. En brandissant des slogans qui s’adressent aux intrus certes, mais qui bientôt dépasseront l’imagination de ceux qui les ont fomentés. L’étranger c’est l’autre ! (Vieux sketch de Fernand Reynaud) nous trouble l’esprit.

À tel point que les magazines de mode proposent de « refermer » les décolletés. En somme la même réplique qui a fait débat après les attentats de Charlie, où les opinions s’auto-censuraient. Pour obtenir la paix du vivre ensemble.

Alors, la liberté serait-elle de s’incliner, se replier, se faire oublier, tout comme la religion doit s’effacer, supprimer les signes ostentatoires qui pourraient nuire à la laïcité.

Mais où s’arrête la liberté? là où commence celle de son prochain à-t-on appris (souvenirs d’école) !

À qui profite le crime ? Qui agite tout ce monde? Est-ce le nouveau concept du terrorisme à forme intellectuelle ? Va t-on vers le voile et la burka pour tous?

A ce propos, le même Président cité plus haut n’a t-il pas déclaré que la prochaine Marianne serait voilée ? (boutade ! )

De grâce, les fautes doivent être sanctionnées, sans faire de procès d’intention, par l’opinion informée ou surinformée?

Les ministres rendent la justice

Que les ministres convoquent à l’Elysée les contrevenants présumés innocents devient choquant ! Qu’en pensent Mr Guillaume Pepy ? Et  maintenant Mr Emmanuel Besnier ? Qui doit porter le chapeau quand le laisser aller a pris corps au au sein du gouvernement par des  choix politiques et financiers qui devraient faire l’objet de débats bien avant les lampistes.

Je m’en vais lire les fables de La Fontaine en chantant du BRASSENS et du BREL(!)

J Guidaniel

samedi 13 janvier 2018

Parades en Union Libre

Les liens du couple en union libre; proteger son compagnon;

Parades en Union Libre

A vous les amoureux en chute libre !
Plus belle la vie à deux en union libre, et plus si affinités. Ne laissez pas s’inviter la solitude, les moments de doute, la peur du lendemain. Il existe des parades.

Tous aux abris derrière le testament

 

Surtout pour les couples en union libre qui se jurent fidélité sur parole ; cet article peut être utile.
Le testament olographe simple et gratuit
Ce document sur papier libre, écrit de la main du testateur, produit tous ses effets en cas de revers de la vie.
Cela est d’autant plus important, en l’absence d’enfants (héritiers réservataires). Il en est de même pour les investissements immobiliers que vous avez réalisés à deux sans être mariés, ni pacsés.
En effet, la loi ne protège pas les couples en union libre. Seuls les liens du mariage confèrent des droits au couple marié, notamment le droit d’usage du logement pendant un an après décès.
Alors le testament permet de léguer la quotité disponible à son compagnon. Cette possibilité, ne règle pas tout, et le mot régler est employé au sens pécuniaire du terme. Autrement dit, il faut compter sur la fiscalité qui n’est pas tendre en pareil cas. La taxe de mutation est de 60% . Aussi un autre sujet mérite d’être abordé.

A deux prenez de l’assurance

Le point sur les assurances existantes

Avant tout, parlons de l’assurance emprunteur souscrite au moment du crédit immobilier qui vous a permis l’acquisition de la résidence principale. La banque exige que le prêt souscrit en indivision soit couvert à 100% du montant emprunté. Ce qui veut dire que les deux emprunteurs en question ont choisi, chacun, en fonction de leur niveau de revenus une quotité de couverture allant de zéro à 100%, de sorte que le total couvert atteigne 100%.
Cette situation évoquée garantit la banque de retrouver après décès le même ratio d’endettement. L’assurance remboursera la banque du montant assuré, laissant ainsi le restant dû au concubin survivant.

Solution de l’assurance complémentaire

Il suffit de considérer le montant qui reste à la charge du survivant en toutes hypothèses. Le bénéficiaire désigné sur le contrat d’assurance sera alors en capacité de faire face aux besoins financiers qui résulteront de cette nouvelle situation.
La question à se poser sera différente d’un couple à l’autre suivant les profils : professionnel, charges de famille et autres. Aussi deux assurances avec bénéficiaires croisés seraient optimum.

Usus et Fructus en union libre

L’indivision organisée

Le fait de souscrire un emprunt à deux pour l’achat d’un même bien immobilier entraîne la copropriété en indivision. L’arrivée d’un enfant déplace juste l’ordre des héritiers. L’enfant est un héritier réservataire, de fait il élimine la succession au bénéfice  des ascendants.
Sans être mariés ni pacsés, il peut être envisagé de demander au notaire le démembrement de propriété sur les parts qui composent l’indivision.

Nu-propriété et Usufruit

La propriété vous le savez se compose de l’usus et du fructus, l’usage et le fruit, (le revenu du bien concerné). Aussi la solution sera de conserver pour chaque indivisaire la nu-propriété respective. Ainsi prenons deux lettres A et B pour notre exemple. Le notaire établira un acte précisant que le propriétaire de A conserve la nu-propriété et cède l’usufruit au propriétaire de B . Inversement B envers A.

Comment fonctionne ce montage juridique

La nu-propriété est un droit permanent alors que l’usufruit est un droit pourtant réel, mais temporaire. L’usufruit disparaît avec l’usufruitier c’est à dire par le décès de la personne bénéficiaire de l’usufruit.
Dans le cas d’un premier décès dans le couple, la situation devient ceci. L’usufruit dont le défunt bénéficiait s’efface et le survivant retrouve la pleine propriété de sa part. De plus, et c’est le plus important, il conserve la donation de l’usufruit qui persiste en sa faveur.

En présence des héritiers

Le compagnon survivant dispose du droit d’usage de la part du défunt, alors que les héritiers du défunt deviendront seulement nu-propriétaires. Le survivant pourra rester dans le logement et même s’il devait le quitter, il continue de percevoir les revenus sa vie entière.

Mieux vaut tard que jamais

Faut il attendre et voir ? Ou dire si j’avais su ?

Une décision s’impose à vous !

A vrai dire le temps ne fait rien à l’affaire.

J Guidaniel

Internet et les réseaux sociaux éclipseraient la vérité

C’était comment avant ?

Avant internet et les réseaux sociaux, que faisait on?

On a chanté l’écologie, ne vous déplaise !, avec le temps de cerises, l’eau vive, que la montagne est belle, même le printemps qui chante, alors que les cheminées des usines crachaient leur fumée bleue noire sans que personne n’observe le cas de la pollution.
Plus tard, les poètes ouvrent des sujets jusque-là tabou, Potemkine, le déserteur et la vérité. Pour cette dernière y a 20 ans à peine. « Le premier qui dit la vérité doit être exécuté » selon Guy Béart.

Aujourd’hui quand serait-il?

Le web vaste comme un océan. L’internaute ce navigateur isolé. Internet ce bateau qui vogue en réseaux .

Peut-être aurions-nous une vérité plus soft, c’est à dire spécieuse, ou au contraire une vérité améliorée, ou encore une vérité augmentée. En tout état de cause, la vérité du 21eme siècle est un gadget de poche. Chacun détient sa propre vérité. En effet, seul les faits sur pièces font loi. Alors pourquoi jurer de dire la vérité toute la vérité si cet accessoire est périmé.

Comment échanger dans un lieu neutre et convivial

Il n’y a guère que les réseaux sociaux où s’échangent des sujets libres qui font débat. Eux seuls ont « les codes » pour qualifier telle déclaration d’Hoax autrement-dit en français canular. Ensuite chacun apporte son complément d’information, et il est bien rare que les termes de ce « chat » émerge dans la presse et les médias.
En France, vérité et mensonge ont déserté le langage populaire. Seraient-ils devenus hasbeen ou ringards. Hoax serait-il fun !
Pas sûr, en effet, les journalistes et en règle générale les médias, s’alarment de voir circuler des commentaires et informations sur les réseaux sociaux qu’ils décrivent au mieux « non vérifiées » entre blogueurs. Il est « vrai » je le pense que ces personnes ne consultent pas forcément les mêmes sources d’informations.

À qui la faute?

Je citerais un exemple si vous me le permettez. Les grèves en Guyane juste avant les présidentielles ont poser problème aux ministres français, et le gouvernement a accordé à la hâte un milliard d’euros, (dit d’urgence). Seulement le compte n’y était pas cette somme avoisinait étrangement la subvention versée à la province Bretagne au cours du mandat. Chercher l’erreur demandaient les Guyanais !
Enfin, et c’est ici que je veux attirer l’attention du lecteur, car le conflit a pris fin in extremis en accordant au total 3 milliards d’euros. Hé bien nos chaînes télévisées unanimement ont commenté la fin du conflit par une subvention de 2 milliards supplémentaires.
Pourquoi tronquer l’information, le gouvernement n’était-il pas fier de l’issue? Craignaient ils la critique ? Ou d’avoir confié au président prochain un cadeau empoisonné ? De lui avoir savonné la planche » en d’autres termes » !

internet « no man’s land »

​ Comment réagit l’internaute qui capte une telle information sur son auto radio? Il envoie à ses amis un tweet de quelques mots en dénonçant ces intox. Par la suite ces groupes se méfieront de manière systématique des prochains commentaires.
Toute personne dispose de fait d’ un moyen de s’exprimer à tous moments. Ainsi se crée des partages d’articles dont la véracité n’est pas le seul critère retenu. Cet espace de « liberté » n’engage que celui qui veut bien le  croire.
De la sorte les forums occupent et remplacent les services après-vente que les fabricants ont dévolus de bonne grâce. Le consommateur trouve les réponses au problème qu’il n’aurait pas solutionné tout seul. « Comment ça marche » un site en ligne en est un exemple patent.

internet contre pouvoir ?

Les propos de bistrot « sur le zinc » sont maintenant contenus dans le réseau facebook.
Cet ensemble de gazouillis ubérise progressivement les journaux télévisés. Que les journalistes s’en offusquent n’a rien de surprenant à priori. D’un côté le professionnel observe une discipline comme dans tout métier structuré. D’ailleurs, la concurrence entre chaine d’informations existe bel et bien. Toutefois, les médias font appel aux amateurs quand ils sont témoins d’un fait qui se déroule sous leurs yeux. La chaîne de télévision se procure ainsi à bon compte les photos de l’événement sans honorer les droits d’auteur me semble t’il ?
L’interaction ne peut-elle être exigée qu’ à sens unique. Non bien sûr. à mon avis les internautes opposent bon gré mal gré un contre pouvoir aux journalistes accusés volontiers de sophisme ou de parti pris quand la vérité à l’état pur les dérange.

La vérité devient elle secret d’Etat?

Il suffit d’observer lors d’événements graves notamment, aux tous premiers instants avant que l’émotion n’envahisse l’opinion, on entend la vérité à l’état brut citée par les premiers témoins choqués voire sidérés de ce qu’ils viennent de voir et de vivre. Puis au fil des heures la présentation des faits « s’organise »… Une enquête est en cours, les travaux d’investigation commencent, on veut comprendre et bien entendu établir les responsabilités de toutes sortes.
La divergence ne peut tarder, car toute vérité n’est pas toujours bonne à dire !
S’il s’agit d’acte terroriste l’individu sera désigné fou à défaut d’ autre explication rassurante. La panique ne doit pas dégénérer .

La vérité avance masquée

Le complot, la conspiration, la manipulation, seront tour à tour suspectés. La pratique de la langue de bois s’ajoute aux supputations, quant aux sondages de popularité de tel ou tel dirigeant politique, il ne fait rien de bien à l’affaire.
Internet est un instrument genre couteau suisse, les idées d’utilisation sont sans commune mesure avec les procédés antérieurs à notre disposition. La numérisation, la dématérialisation, accompagnent l’utilisateur partout et relie tous les points du globe…ou presque.

Internet serait en période de rôdage

La réglementation est en retard sur ces nouveaux outils. Pourtant en matière pénale tout a été écrit tellement les interprétations ouvre grand le champ opératoire. Rien de grave ?. L’auto- régulation peut-elle jouer de la même manière que l’offre et la demande ? Rien n’est moins sûr !
L’avenir nous le montrera, peut être !

Jacques Guidaniel

25 avril 2017

Colocataire étudiant ou salarié qui sait ?

L'école de la vie sinue au travers d'expériences en tous genres
La vie en co-location s’apparente a driver le bateau à deux ?

Colocataire : une idée reçue nous vient en tête en parlant de colocation. En effet, ce mot est connoté aux étudiants. Or, selon une étude réalisée par Appartager.com, il y a plus de salariés en colocation au premier trimestre 2017 que d’étudiants.

Qui « co-loue » ?

Selon cette étude, 45% des colocataires sont salariés contre 40% étudiants. Les 15% ne sont pas représentatifs d’une tendance. On peut en effet, vivre sous le même toit tout en se déclarant colocataire, alors que la réalité se cache dans les détails, pourrait on dire. La fiscalité et les aides sociales fournissent les qualificatifs adéquats.

La jeunesse quant à elle se partage l’essentiel des chiffres annoncés. De 18 à 40 ans les colocataires représentent les 90% allégrement.
Selon cette étude, il ressort que l’âge moyen augmente d’année en année.

Colocation évolution dans le temps

De cette constatation il paraît logique que nos jeunes entrés dans cette catégorie ne quittent pas cette formule, mais progressent ainsi dans la continuité pendant toutes leurs études.
Une déduction est elle possible en considérant la formation des colocataires ? s’agit il de personnes réunies au départ autour d’un même projet ( les études par exemple) et chemin faisant se verraient elles bien prolonger leur destinée pour plus si affinité.
Ainsi d’étudiants ces générations viennent compléter le rang des salariés, cela n’étant qu’une tendance hypothétique, à priori.

Le marché de la colocation et tendance ?

De manière plus surprenante il semblerait que le loyer consacré pour la colocation baisse en moyenne. Il serait passé de 506€ à 488€ sur un an, chez les salariés.
Bien entendu il faut replacer ces chiffres dans leurs régions respectives. En Ile de France on avancera le loyer moyen à 604€ alors que 408€ suffiront à Toulouse.

N’empêche que Paris est et reste le plus convoité.
Cet engouement cache peut être les obligations contraintes par le marché du travail, car en effet, comment ne pas suspecter les difficultés d’entrer dans la carrière avec des CDD ou autres petits boulots qui transpirent la précarité.

Quand on parle de nos enfants à quoi pense t on ?

jacques Guidaniel

Algorithme et domotique font le ménage.

Qu’est ce donc qu’ un algorithme ?

Algorithme correspond à la définition du « Larousse de 1968 » par une énumération laconique: « suite de raisonnements ou d’opérations qui fournit la solution de certains problèmes » .CQFD . Mieux vaut ne pas rendre sa copie, en pareille situation, si l’on ne peut dire autre chose !. En conclusion, l’algorithme est maintenant incontournable. En conséquence, il est présent dans les programmes faisant appel à l’intelligence artificiel. De surcroît, le meilleur est fournit par  Google roi de l’algorithme pour le fonctionnement de ses moteurs de recherches.

La domotique au service de la maison

Domotique : « ensemble de techniques et d’électroniques, associées aux appareils de télécommunications dans le but de gérer les éléments dans la maison », voire  même son environnement. Algorithme et domotique sont imbriqués et tout le débat réside maintenant dans la rapidité pour obtenir le  résultat.

La technologie vous environne

Un heureux mariage prometteur entre la domotique, l’électronique dite embarquée, ayant pour témoins les télécommunications, représentées par un Smartphone, voila qui  image assez bien la cérémonie qui va faire danser les objets dits connectés dans la maison. Les algorithmes feront office de maître de cérémonie, réglant   les problématiques rencontrées.

La technologie vous protège

Plus basique, la maison devient intelligente, à tel point que vous ne  la quitterez plus. Aussi à l’aide de votre Smartphone, vous aurez de ses nouvelles !. De même, les caméras de surveillance feront sursauter votre téléphone pour  signaler une intrusion. Bref, ces événements s’avèrent souvent dénués d’intérêt où de gravité. Le plus gênant, sera d’être prévenu au milieu d’une  fête en famille, et surtout à bonne distance du domicile. Néanmoins, il sera toujours possible de visionner par téléphone les différentes pièces de la maison. Ces inconvénients, seront écartés si vous souscrivez un contrat d’assistance  avec une société de télésurveillance, qui agira pour vous.

La technologie vous remplace

De votre bureau, vous pourrez donner l’ordre aux appareils d’exécuter la mission, par exemple, baisser les rideaux, déclencher le chauffage, et bien d’autres choses encore. Le plus spectaculaire revient au détecteur du vent (devenu suffisamment important) commande le repli des stores bannes sur la terrasse.

Dans ce domaine une plate forme excelle en mettant à disposition « une recette », je cite IFTTT  déjà plus connu dans la gestion des contenus à publier sur les réseaux sociaux. Ici elle utilise la même logique (If – This – That – Then) , ressemblant à s’y méprendre au programme informatique en basic pour exécuter une suite d’opération. En Français on peut traduire par Si c’est ainsi- alors faire cela…

La technologie s’est invité chez vous

Les applications sont multiples, si la porte est ouverte alors il faut interrompre le chauffage. Selon que  la température, extérieure varie, les commandes vers le chauffage seront très utiles. En effet, on pourrait  gérer, les planchers chauffants connus pour l’inertie thermique de quelques heures avant de produire la chaleur. Du reste, les thermostats actuels ne sont pas assez réactifs et sensibles. Finalement (si les infos météo deviennent fiables), il serait intéressant de les connecter au chauffage par le sol pour qu’il anticipe les gelées annoncées, notamment.

multiples fonctions

La maison est le support idéal, et propice à l’innovation. surveiller bébé dans sa chambre ,par exemple, devient beaucoup plus fiable.   Le confort, la sécurité, l’automatisation des tâches ménagères libère le temps passé à la maison. Les appareils connectés entre eux, vont faire le travail à la demande, se déclencher aux heures creuses. L’aspirateur robotisé attendra votre départ pour envahir la maison de bruit. Le lave linge choisira son programme en fonction du linge et surtout prélèvera la quantité de lessive utile .De ce fait, la liste n’est pas exhaustive, certes non !.

En definitive

Chaque jour, une application n’attend plus que la validation des fabricants pour passer à l’étape de la commercialisation. Ainsi, Nous avons parlé maison intelligente, ce n’est qu’un aspect bien d’autres objets sont déjà connectés, dans la voiture notamment. Le sujet n’est pas épuisé, le progrès avance dans tous les domaines. Il n’attend que les résultats de nouvelles recherches algorithmiques complexes.

Jacques Guidaniel

 

 

 

 

Qu’est devenu la génération baby boom?

Les générations seniors et baby boomer sont ils responsables des difficultés que rencontrent les générations y ?

Pourquoi montrer du doigt une génération par rapport aux autres ?

Autour de la  génération du baby boom, l’économie fait débat à grands coups, d’arbres transformés en pâte à papier. Elle fait tourner les rotatives pour éditer  en autant de livres  les programmes avancés par les candidats à la présidentielle. Ajoutons à cette offre pléthorique les  livres édités par les économistes. Maintenant, comment invoquer la responsabilité d’une génération, pour enrichissement indu  au cours des  années de croissance de la France.

Les français auraient ils la réputation de ne rien ou peu connaître de l’économie ? A qui la faute ?

Les français ne sont pas doués en langue étrangère dit on ? A qui la faute ?

La génération  baby boom serait responsable de notre situation décadente actuelle  ? les titres  flingueurs du genre « Nos enfants paieront » déclenchent une zone de fracture ! A qui la faute ?

Qui suis je ?

Je suis  baby boomer vous l’aurez compris, et ces accusations des nouvelles générations me peinent. Né dans les premiers jours de 1946, je n’ai pas eu l’impression, je vous l’assure d’être privilégié, à la campagne, au milieu des travaux de reconstructions d’après guerre. A cet égard le certificat d’études en poche à 14 ans, représentait pour moi une certaine indépendance après les 9 ans passés à l’école communale . Inutile de préciser que la marche à pied était mon moyen de transport pour se rendre à l’école.  J’ai beaucoup entendu parler de la guerre et de ses conséquences, alors que le mérite, et le système D, dictaient notre destin….

Après 1945, Les  générations de retraités ont perçu à 65 ans, leurs premières  allocations aux vieux travailleurs salariés par répartition (équivalent à 40% du salaire dans le meilleur des cas). Les débats de révoltés à l’époque, n’avaient rien semble t il d’une partie de plaisir.

D’ailleurs, enfant, observer la morale, retirer son béret pour saluer, étaient  incontournables à l’époque. Ceci pour le décor !

En outre, le service militaire, le Général De Gaulle, les grèves de 1968, les événements d’Algérie, m’ont forgé un sens de l’observation plus pratique que théorique n’en déplaise à nos énarques !

Ces générations détiennent l’épargne aujourd’hui, mais il ne faut pas oublier que cet argent gagné n’a pas à être justifié auprès des économistes et philosophes frais émoulus, aujourd’hui. Comprenons bien que cette époque révolue n’a pu marquer leur mémoire.

Qui doit porter le chapeau ?

Maintenant parler des 30 glorieuses qui seraient imputables à ces générations de privilégiés ne me concerne pas. En effet, Je reviendrais volontiers sur les actes politiques qui me semblent indépendants des compatriotes.

Prenons des faits marquants,   tout de suite considérons l’œuvre de M Mitterrand (souvenez vous son slogan de campagne : « la force tranquille« . Il n’a pas hésité à vendre les bijoux de famille dans les années 80, pour renflouer les « avancées socialistes » . Citons les privatisations des banques, de l’EDF, des Télécoms, sans oublier le fleuron des autoroutes françaises . Les ressources obtenues de cette  grande braderie nationale masquait pour qui ne l’aurait pas remarqué, outre le gâchis financier, l’appauvrissement de la France.

Et pour les années suivantes ?

Pour faire preuve de continuité, parlons de M Chirac, en temps que ministre de F Mitterrand, puis président de la république. N’a t’il pas fait usage d’anaphores pendant sa campagne présidentielle, pour surfer sur la vague de  « la fracture sociale » telle qu’il la nommait. Qu’en a t’il fait ?

Rien !

Je citerais pour preuve l’abandon du service militaire national français. Par là, le déficit de la France était étanché quelques temps, les casernes ont été vendues aux promoteurs. A ce sujet, écoutez chanter « le petit jardin » par  Dutronc. En conclusion, qui a  penser aux conséquences du manque de cohésion entre les générations?. Notamment celles de l’après « Algérie », ne parlait on pas de ghettos dans les zones périphériques des villes à cette époque ?

Attribuer la palme à M Sarkozy serait faire un raccourci, trop facile. Il s’est bien sorti de la crise des subprimes en 2008, à grands coups de déficit, certes ! Mais l’entrée des pays dans la CEE à vitesse grand V , (années Mitterrand, Chirac) indépendants de sa volonté, se paie au prix fort aujourd’hui.

L’agriculture et l’industrie laissées pour compte ?

L’agriculture et l’industrie ne peuvent être citées qu’en tant que victimes.Notamment, la politique consiste, actuellement  à « freiner » la production de l’agriculture pour soutenir les prix . Exemple, La CEE préconisait la  mise en jachère de terres, et  l’attribution de la PAC,. Alors que la mondialisation s’étendait, que des gens mouraient de faim,  en  France, on arrosait de gasoil les fruits invendus.

Toujours dans le but de soutenir les prix, on déplaçait les  problèmes …. Pour mémoire ne parlait on pas de pays émergents ?

Finalement, l’industrie s’est délocalisée et s’est  effacée devant le secteur des services non délocalisables. De ce fait, nous pouvons conclure ainsi, notre génération  n’est en rien concernée par les actes de nos dirigeants, et de leurs imprévisions.

Que sera demain si l’on n’y prend garde !

Dernier point concernant l’avenir, les retraités seraient les mieux lotis, pense-t-on ?. En outre , nous ne connaissons pas de revalorisation de nos retraites depuis des lustres.

Notre espérance de vie s’allonge parait il.

D’après vous, que se passera t il dans la prochaine décennie?.

En particulier, nos « rentes » décriées qui rassemblent leurs années d’épargne, vont fondre inexorablement .  Nous assisterons au rapprochement des classes sociales moyennes, autrement dit : à qui profite  le glissement des seniors?  .Que restera t il des richesses à transmettre, à nos enfants, seront ils héritiers de nos déchéances ?

Que font les mamy et papy boom?

Regardez que font les grands parents à la sortie de l’école, qu’attendent ils ? ?

Encore, que font ils le mercredi ? Ils profitent d’avoir leurs petits enfants! Pardi !

Enfin, que font ils pendant les vacances scolaires ? ils profitent d’avoir leurs petits enfants pour occuper leur temps ! celui des grands parents ? pardi !

Croyez vous que nous restons les bras croisés devant les problèmes que rencontrent les générations Y (dont font partie nos enfants) ?. Les droits de donation trouvent ici la réponse sans faire appel à la solidarité de la Nation.

C’est un fait à souligner, rien d’autre. Alors, serions nous responsables de leur déconvenue?.

Aussi, n’avons nous pas souhaité qu’ils réussissent mieux que nous mêmes, et Dieu sait ce que cela représentait pour notre génération d’après guerre ! imprégnés que nous étions. N’apprenait on pas par cœur « le laboureur et ses enfants » fable ô combien solennelle !

J Guidaniel

 

Petit le chômage c’est pas pour toi, va jouer

chômage
Ici on parle chômage entre grands  !

Dit autrement vous connaissez la chanson

Petit n écoute pas les grands parler/va jouer dans la jardin/il y fait si  bon ce matin….
En effet, ce qui va suivre n’est pas à enseigner aux enfants…la courbe du chômage !
D’ailleurs, découvrir l’arithmétique, je me souviens était pour moi jubilatoire . Malheureusement, aujourd’hui l’arithmétique torturée par la promotion Voltaire (ENA), n’a Rien de ragoûtant… Voyez Plutôt ! Le chômage baisse « quand il monte moins vite ». Énorme dirait Lucchini !
Plus sérieusement.

Arithmétique appliquée

Voici la démonstration : un ensemble de chômeurs =100 au depart.
Sachant qu’après chaque mois 10 nouveaux chômeurs s’ajoutent… Nous pouvons écrire en pourcentage 10X100/100=10℅. d’augmentation sur le premier mois…  10℅…logique, n’est ce pas ! Mais pendant 10 mois on observe la progression constante de 10 par mois… Autrement dit nous avons doublé le nombre de chômeurs, soit 200 au total comptabilisés.
Voyons voir en pourcentage l’augmentation du 10 ème mois ? Sachant que le chiffre constant de 10 se compare à 200, l’opération s’écrit ainsi : 10X100/200= 5 ℅… Oh surprise! et bravo ! la hausse du 10éme mois n’est plus que de 5% … Mr le Président je vous ai compris quand on ne fait rien …la progression diminue.

En politique appliquée

On croit rêver et la ministre du travail n’y est pour rien, non plus ! D’ailleurs les précédents ministres ont quittés en échec !
M le Président  si vous pouviez nous faire un tour de magie du même ordre avec les impôts sur le revenu ?
Enfin, il y a bien une ficelle là aussi ! La fiscalité des entreprises sur le bénéfice est de 33℅33. En oubliant les prélèvements sociaux… sur les dividendes,  Une bagatelle 15.5℅ soit un total de 49℅ prélevés sur le bénéfice. Autrement dit un actionnaire « invisible » rafle ou prend en otage la moitié des capitaux indispensables au développement de ladite entreprise.

Sauf à transférer le siège social.!! Dans les pays imbéciles ou il ne pleut jamais !!! D impôt.
Jacques Guidaniel